Tout savoir sur l’écriture japonaise

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L’écriture japonaise :  kanji, kana, chiffres arabes et alphabet latin

Si le français et de nombreuses langues en Europe utilisent les lettres de l’alphabet latin, le japonais compte 5 ensembles de caractères distincts dont 2 systèmes « japonais » : KANJI et KANA (les KANJI sont chinois à l’origine).

Il est tout à fait possible d’apprendre à écrire le japonais ou à le lire. Bien sûr, l’apprentissage des KANJI est ce qui demande le plus de temps.

Au cas vous avez besoin d’un peu d’aide dans l’apprentissage du japonais, nous vous conseillons notre article  « les 10 idées pour apprendre le japonais et rester motivé« 

Point important, les résultats arrivent avec :

  • de la méthode (on est là pour ça 🙂 )
  • de la régularité
  • du temps
  • de la patience

Pour booster votre motivation, nous avons un article pour vous. Il est question de l’IKIGAI 生き甲斐  , concept japonais  qui peut se traduire par raison d’être, but dans la vie.

Notre conseil top important : apprendre les KANA dès le début pour ne pas utiliser les rômaji.
 Plan de l’article l’écriture japonaise
  • le japonais – kanji et kana
  • la prononciation en japonais
  • les particularités phonétiques du japonais
  • transcription Hepburn et Kunrei – kesako ?
  • les intonations
  • conseils

L’écriture japonaise – kanji et kana

 Le japonais s’écrit en utilisant des idéogrammes (d’origine chinois)

  • les KANJI

combiné à 2 syllabaires (KANA)

  • HIRAGANA
  • KATAKANA

combiné aux caractères de l’alphabet latin et chiffres arabes si besoin

  • RÔMAJI – caractères de l’alphabet latin utilisés notamment pour les sigles (exemple ANA  = ALL NIPPON AIRWAYS) ou dans les systèmes de transcription (Hepburn, Kunrei …)
  • ARABIASÛJI : les chiffres arabes très utilisés au quotidien dans les journaux, les magasins …

Tableau récapitulatif KANJI, HIRAGANA, KATAKANA, RÔMAJI, ARABIASÛJI

KANJI

HIRAGANA

KATAKANA

RÔMAJI et ARABIASÛJI

  • signification
  • idée ou concept
  • prononciation diverse pour un même kanji
  • pas de signification en soi
  • un signe = un son
  • utilisé pour les particules, déclinaisons
  • pas de signification en soi
  • un signe = un son
  • utilisé pour retranscrire les noms étrangers
  • alphabet latin
  • utilisé pour retranscrire la langue japonaise en alphabet latin via le système Hepburn ou kunrei
  • utilisé pour les sigles …
  • chiffres arabes pour les mathématiques …
  • liste officielle : 2000 KANJI environ
  • plus de 6000 KANJI
  • Apprentissage des  KANJI à partir de 6 ans au Japon et se termine à la fin du lycée

46 signes

apprentissage dès 5 ans au Japon

Les livres des petits enfants sont écrits en HIRAGANA

et KATAKANA

46 signes

apprentissage dès 5 ans au Japon

Les livres des petits enfants sont écrits en HIRAGANA

et KATAKANA

26 lettres + chiffres arabes

  • lecture kun-yomi (en général 1 KANJI seul)
  • lecture on-yomi (en général plusieurs KANJI ensemble)

 

 

 

 

 

A retenir : les KANJI ont une signification particulière alors que les KANA (HIRAGANA + KATAKANA) représentent des sons uniquement.

A l’origine, le japonais ne possédait pas de système d’écriture et c’est au IVème siècle que des moines bouddhistes sont arrivés au Japon en apportant avec eux l’écriture chinoise. Finalement, les japonais ont intégré ce système en L’ADAPTANT car la langue chinoise et la langue japonaise étaient très différentes.

 Pour pouvoir lire les kanji, les japonais utilisent 2 types de lecture  :

  • la lecture kun-yomi  (lecture japonais) qui  correspond en général à la lecture d’un KANJI isolé mais pas toujours – en général et par convention représentée par des Hiragana dans les manuels d’apprentissage du japonais à destination des non-japonais
  • La lecture on-yomi (prononciation provenant du chinois à l’origine) qui correspond à la lecture de plusieurs KANJI associés mais pas toujours – en général et par convention représentée par des Katakana dans les manuels d’apprentissage du japonais à destination des non-japonais

Un KANJI peut correspondre à plusieurs lectures on-yomi et plusieurs lectures kun-yomi.

 A retenir : pour écrire le japonais, il faut donc combiner les KANJI et les KANA et les ARABIASÛJI (et parfois le rômaji).
  • A l’école, les enfants commencent par apprendre les KANA vers 5 ans puis les KANJI à partir de l’âge de 6 ans.
  • A la fin du primaire, ils doivent connaître 1006 KANJI (kyōiku kanji)
  • A la fin du lycée, un élève doit connaître la liste officielle des KANJI (jōyō kanji)

Exemple de  KANJI

kanji-do

= le chemin (calligraphie de Machiko)

 Exemple de KANA

hiragana-e

Hiragana é (de Machiko)

katakana-mu

katakana mu (de Machiko)

Recevez l’intégralité des KANA en téléchargeant « notre manuel du débutant »

Origine des KANJI

Les KANJI sont des signes représentatifs d’un objet ou d’une idée à l’origine.

Voici comment sont nés certains KANJI

kanji-evolution

A partir d’un dessin, la forme a évolué avec le temps pour devenir les KANJI que nous connaissons aujourd’hui

Les personnes qui ont lu cette article ont aussi lu :  Kanji la terre [série kanji]

Comment utiliser les KANJI et les KANA

Nous allons essayer de répondre aux nombreuses questions qui reviennent sur l’écriture japonaise et sur les différences entre les syllabaires (HIRAGANA / KATAKANA) que vous pouvez rencontrer lors que vous étudiez le japonais.

Cependant, pour éviter de vous perdre dans les détails,  nous préférons vous présenter le système d’écriture japonais en allant à l’essentiel.

Voyons à présent une phrase comportant une combinaison de KANJI, HIRAGANA, KATAKANA  :

 相撲は日本のスポーツです。

すもう は 日本 の スポーツ です。

Le sumo est un sport japonais.

Dans cette phrase, nous avons :

  • 相撲 / すもう = KANJI / HIRAGANA signifiant sumo
  •  = particule signifiant « à propos de » – thème de la phrase
  • 日本 = KANJI signifiant Japon, japonais
  •  = particule reliant 2 groupes, ici sport et japon
  • スポーツ = KATAKANA signifiant sport (mot d’origine étrangère)
  • です = HIRAGANA signifiant c’est, est
Les questions qui reviennent souvent par rapport à l’écriture japonaise

Pourquoi utiliser des KANJI alors que l’on peut écrire le japonais en HIRAGANA et en KATAKANA ?

►►Il y a de nombreux homonymes en japonais. Le sens est alors déterminé par le contexte et le KANJI sera différent. En effet, 2 KANJI se prononçant de la même façon n’auront pas la même écriture.

Exemple 
  1. HASHI : 橋 = le pont  /  箸 = les baguettes (pour manger)
  2. AME : 雨 = la pluie  /    飴 = un bonbon
  3. KUMO : 雲 = nuage  /  蜘蛛 = araignée

►►Les KANJI permettent également de lire un texte sans difficulté visuelle car l’écriture japonaise se fait d’un bloc. Il n’y a pas d’espaces dans les phrases comme par exemple en français.Si les KANJI ne sont pas utilisés, la lecture devient alors très difficile. Dans l’exemple ci-dessous, la phrase écrite en HIRAGANA devient difficilement compréhensible. On ne distingue pas les mots dans la phrase. Il faut déchiffrer.

Exemple

私の名前は真千子です。日本語の先生です。皆さんに日本語や日本の文化を紹介できることがとても嬉しいです。

わたしのなまえはまちこです。にほんごのせんせいです。みなさんににほんごやにほんのぶんかをしょうかいできることがとてもうれしいです。

Je m’appelle Machiko . Je suis professeur de japonais.  Je suis très contente de vous présenter la  langue japonaise et la culture du Japon.

Est-il important d’apprendre les KANJI ?

L’écriture japonaise se compose des KANA et des KANJI. L’importance d’apprendre les KANJI va dépendre de votre projet par rapport à l’apprentissage du japonais. Vous pouvez tout à fait envisager de parler japonais sans connaître les KANJI. Cela dit, votre progression sera limitée à partir d’un niveau un peu avancé, à moins de vivre très longtemps en immersion complète.

Nous voyons 2 grands intérêts  à étudier les KANJI :
  • développer son vocabulaire car connaître les KANJI, c’est connaître les différentes lectures et combinaisons possibles (voir ci-dessous lecture kun-yomi et on-yomi)
  • l’aspect culturel. Si vous souhaitez comprendre le plus possible la pensée japonaise, l’apprentissage des KANJI est un vrai PLUS.
Est-il important d’apprendre les KANA ?

Les KANA sont la base de l’écriture japonaise et demande un travail d’écriture assez simple pour les mémoriser. Si vous souhaitez étudier le japonais, c’est un incontournable. Les rômaji peuvent êttre utilisés au début mais i vous progressez en japonais, la plupart des manuels ne les utilisent plus.

Combien de temps faut-il pour parler japonais ?

C’est une vaste question et il ya de nombreuses possiblités selon votre rythme d’apprentissage et les moyens que vous vous donnerez. A cet égard, de nombreuses applications et cours en ligne peuvent vous aider indéniablement. Bien sûr, nous ne pouvons que vous recommandez de prendre des cours avec un professeur (si possible natif) si vous souhaitez vraiment progresser :

  • la prononciation et les intonations sont importants en japonais
  • l’aspect culturel est un incontournable de cette langue

L’idéal est de prendre des cours avec un professeur de japonais car l’aspect culturel est fondamental dans l’apprentissage d’une langue, encore plus quand le système culturel est très éloigné du sien. Si vous étudiez un peu régulièrement, à la fin de la 1ère année,  vous serez capable de tenir une conversation, d’exprimer ce que vous aimez, de vous présenter…

Utilisation des KANA dans l’écriture japonaise (hiragana et katakana)
Les HIRAGANA sont utilisés
  • pour écrire le japonais de façon simple (pour les enfants par exemple)
  • pour les particules enclitiques comme par exemple   を に で – etc  (ce qui détermine la fonction d’un mot ou d’un groupe de mot dans une phrase)
  • et  pour la partie déclinée des verbes et des adjectifs (terminaisons)
hiragana

Tableau des HIRAGANA

 Les KATAKANA sont utilisés
  • pour écrire les mots d’origine étrangère
  • pour les noms propres étrangers (patronymes, toponymes)
  • pour les noms savants des espèces biologiques
  • pour et les onomatopées japonaises
  • pour mettre en valeur dans un texte des mots qui s’écrivent normalement en kanji ou en hiragana
  • pour écrire un prénom japonais si l’on ne connaît pas le ou les kanji qui le composent.
katakana

 

 Tableau des KATAKANA

 

Les FURIGANA sont des HIRAGANA ET KATAKANA placés en petit au-dessus d’un KANJI pour faciliter sa lecture. Les FURIGANA sont utilisés dans les mangas et les livres pour enfants.

A RETENIR : L’écriture japonaise combine 5 types de caractères distincts :
  • les Hiragana (pour faire simple – sons permettant de retranscrire les sons japonais simplement)
  • les katakana (pour faire simple – sons permettant de retranscrire les mots étrangers, les noms propres étrangers, les noms scientifiques et les onomatopées)
  • les kanjis (pour faire simple – caractères ou idéogrammes empruntés aux chinois)
  • le rômaji (pour faire simple – caractère de l’alphabet latin pour certains sigles par exemple comme ANA – All Nippon Airways)
  • les chiffres arabes
Les personnes qui ont lu cette article ont aussi lu :  Kanji APPRENDRE : comment l'écrire et le prononcer

La prononciation en Japonais

Le japonais est une langue qui ne comporte pas de difficulté de prononciation pour les francophones.

Effectivement, tous les sons du japonais se retrouvent dans la langue française (ce qui n’est pas le cas inversement) ou se ressemblent fortement.

Il y a quelques particularités cependant 

  • Le H est expiré comme dans ASAHIあさひ (le jour qui se lève)
  • Le R n’existe pas et ressemble à un L comme dans ARIGATOU ありがとう (merci)
  • Le U ressemble à un OU comme dans MIZU – みず (eau)
  • Le CH se prononce TCH comme dans le prénom MACHIKO  –    まちこ (prononcé MATCHIKO)
  • Le N en fin de mot ressemble au son AINE mais en plus léger
  • Certains sons peuvent être ALLONGES et peuvent changer le sens d’un mot comme OBASAN – おばさん (tante) ou OBÃSAN – おばあさん (grand-mère)
  • Certains mots comportent une PAUSE – le petit TSU – あさって comme dans ASATTE (après-demain)

Les particularités phonétiques dans l’écriture japonaise

 PETIT TSU  – pause vocale

Certains mots comportent une PAUSE – le petit TSU   comme dans ASATTE – あさって (après-demain)

Dans un mot japonais, il peut arriver qu’il faille marquer une pause dans la prononciation. En musique, cela revient à faire un silence entre 2 notes. On retrouve le petit TSU en HIRAGANA et en KATAKANA.

Ainsi, si l’on retranscrit cette pause en rômaji, on notera la pause en doublant la consonne.

 Dans l’exemple ASATTE, il faut prononcer ASA – pause – te.

 EN HIRAGANA, le petit TSU  = (taille réduite)

En KATAKANA, le petit TSU  = (taille réduite)

 Exemple

① – いって / ITTE = Dis (impératif / dire) ou Vas (imperatif / aller)

いて / ITE = Reste (impératif / rester)

② – きって / KITTE = Timbre

きて = KITE = Viens (impératif / venir)

③ – マッチ / MATCHI = Allumette

まち = MACHI = Ville

④ – バッター / BATTÂ = Batteur (baseball)

バター = BATÂ = Beurre

⑤ – せっけん / SEKKEN = Savon

せけん = SEKEN = Monde, Société, Gens

⑥ – ねっこ / NEKKO = Racine

ねこ = NEKO = Chat

 Comment prononcer le petit TSU
  • pour les sons T, K et P, la pause est lue en marquant un temps d’arrêt.
  • pour les sons S, Z, on prolonge le son >>> Un magazine se dit ざっし et se prononce ZASSSSHI.

La prononciation du petit TSU est importante à respecter car elle peut transformer le sens d’un même mot comme vous avez pu le constater dans les exemples ci-dessus.

L’allongement ou double consonne

Certaines voyelles sont allongées en doublant la voyelle donné. Cela peut changer le sens d’un mot comme OBASAN – おばさん (tante) ou OBÃSAN – おばあさん (grand-mère)

 Allongement HIRAGANA

allonger Hiragana A 

allonger Hiragana i

 

allonger Hiragana U

allonger hiragana E

allonger hiragana O

on ajoute  あ – A
on ajoute い – i
on ajoute う – ou
on ajoute  い – i
on ajoute  う- ou

 おばあさん

grand-mère

おにいさん

le frère

ぎゅうにゅう

 lait de vache

せんせい

professeur ou personnes avec compétence particulière (médecin…)

いきましょう

allons-y

 

Il peut y avoir des exceptions

exemple :  おおきい >>> le son « O »  n’est allongé avec un う mais avec un autre お. Cela reste cependant des exceptions.

Allongement KATAKANA

Très simple il suffit d’ajouter ー après la syllabe que l’on veut allonger.

Exemple

① – サッカー = SAKKÂ = Foot

さっか = SAKKA = Écrivain

② – ステーキ = SUTÊKI = Steak

すてき = SUTEKI = Chouette

③ – スキー = SUKÎ = Ski

すき = SUKI = Aimer, Préférer

④ – チーズ = CHÎZU = Fromage

ちず = CHIZU = Plan, Carte

 Transcription HEPBURN et KUNREI

Les méthodes Hepburn et Kunrei sont des méthodes de romanisation du japonais. La méthode Hepburn fut créée par le missionnaire américain James Curtis Hepburn en 1887. C’est une retranscription phonétique de la langue japonaise. Le gouvernement japonais propose sa propre méthode dite Kunrei dans les années 90 (d’autres méthodes ont vu le jour depuis).

La méthode Hepburn reste très usitée, notamment dans les manuels d’enseignement du japonais internationaux.

L’allongement se fait grâce à un MACRON, tiret se trouvant au-dessus de la voyelle à allonger. Cependant, il peut y avoir de nombreuses variations selon le système adopté ou l’usage.

Exemple : Tokyo

  • Tōkyō : avec des  macrons (d’après la norme)
  • Tôkyô : avec des accents circonflexes souvent utilisé à la place des macrons
  • Tookyoo : en redoublant la voyelle (possibilité recommandée par la norme quand les macrons ne sont pas disponibles)
  • Toukyou : en utilisant la voyelle u
  • Tokyo : pour les mots japonais adoptés en français mais faisant perdre des distinctions phonétiques et sémantiques de la langue d’origine).
Les intonations

Comme dans de nombreuses langues, le japonais comporte des intonations. Par conséquent, la pratique et l’écoute sont certainement ce qui va permettre de développer la compétence “intonation” par mimétisme.

Il est cependant important de savoir que les intonations peuvent :

  • changer le sens d’un mot
  • sont différentes selon les régions (les intonations du KANTO ET DU KANSAI sont assez différentes)
  • Pour les puristes, vous trouverez sur ce site japonais de nombreux mots avec leur intonation. Le site fonctionne comme un dictionnaire par ordre de KANA.
Quelques outils pour vous aider (qui ne remplacent pas un bon prof 🙂 )
  • voir ici Obenkyo qui est une très bonne application simple pour démarrer le japonais
  • utiliser la répétition de façon espacée de ce que vous avez appris avec des flashcards
Conclusion

Le japon est un pays qui accueille chaque année de nombreuses personnes pour pour les vacances et  également désireuses d’y vivre. Ainsi, le sens de l’accueil, le respect des règles, le savoir vivre et le niveau de sécurité de ce pays en font une destination particulièrement appréciée.

Notre conseil final : nous ne pouvons que vous recommandez d’aller faire un tour dans ce beau pays, que ce soit pour les vacances ou pour y séjourner sur une période plus longue.

Même si le japonais est une langue qui paraît difficile, notamment par son système d’écriture, il est à noter que la grammaire de base ne comporte pas de difficultés (absence de genre, absence de conjugaison…).

Avec de la régularité, nous pouvons apprendre les bases assez rapidement et commencer à se faire plaisir à l’oral. Nous le voyons régulièrement avec les personnes que nous accompagnons dans les cours que nous proposons.

Pour les personnes qui souhaiteraient s’installer au Japon, nous vous conseillons vivement de vous initier au japonais et de prendre des cours avant de partir. Cela vous facilitera grandement la vie et vous fera gagner beaucoup de temps une fois sur place.

 

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